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Scènes d'un monde flottant

Nouvelle édition revue et augmentée d'un essai autobiographique et d'un carnet de notes. Poèmes traduits par Marie-Claude White
Paris, Grasset, 1983.

Présentation de l’éditeur (deuxième édition)

     D’abord, un essai autobiographique où s’exprime la fascination de l’auteur pour le « monde flottant » tel qu’il se dessine dans les estampes de Hiroshige, Hokusai et Utamaro, et pour le mélange de culture populaire et de culture aristrocratique que l’on trouve au Japon pendant la période de Genroku (XVIIIe siècle).
     Ensuite, lors d’une expérience cinématographique à Hong Kong, la tentative de traduire le « monde flottant » en termes modernes, par une sorte de « ciné-poésie ». En effet, quelle ville pourrait, mieux que Hong Kong, grand port situé entre deux mondes politiques, entre deux cultures, illustrer le concept de « monde flottant » ?
     Et pour finir, un carnet de notes où il est question de littérature (occidentale et orientale), de cinéma (occidental et oriental) de traduction, de construction navale, de voyages maritimes, de nomadisme intellectuel, d’érotisme comparé, d’esthétique, de philosophie et d’amitié, mais surtout, peut-être, des prémisses d’une poésie qui, à notre époque mouvante, est dans l’air ou sur la mer et qu’il s’agit de capter, pour une plus grande jouissance des sens et de l’intelligence.

Extraits
Voir à la première édition.
Presse
La première version de Scènes d’un monde flottant parut en 1976. Elle avait été imprimée à Hong Kong même pour l’éditeur Alfred Eibel. Le titre de l’époque était d’ailleurs Hong Kong, Scènes d’un monde flottant et l’ouvrage reposait sur des notes prises lors d’une expérience cinématographique. Cette nouvelle version invite à des extrapolations. […]
Ces poèmes qui réapparaissent conservent non seulement toute leur portée, mais le rayonnement acquis entre-temps par White, les premiers effets du concept de nomadisme inoculé à la pensée occidentale contemporaine, en augmentent sensiblement dimension et vigueur. […] Parcours initiatique, l’œuvre de White ne néglige pas le contact immédiat avec la réalité brute.
     Marc Baronheid, La Wallonie (Liège)