Présentation de l’éditeur
Avec
Le Rôdeur des confins, on traverse des territoires du nord et du sud, de l’est et de l’ouest avec, toujours à l’horizon, ces confins de l’esprit que White affectionne. Ils sont là, palpables, dans les solitudes boréales de Scandinavie, dans les plaines d’Europe centrale, dans la forêt brumeuse de l’Amérique du Nord, dans la roche désertique de l’Atlas, dans la lumière blanche d’Andalousie, dans les embruns océaniques du Portugal, ou encore à travers les rencontres de l’auteur avec Kierkegaard à Copenhague, avec ce vieux fou de Swedenborg à Stockholm, avec Rousseau en Corse, avec Herman Melville à Tahiti.
Voyager en compagnie de Kenneth White procure un bonheur extrême : rien de pesant, aucune pose dans son style d’un naturel incroyable.
Le Rôdeur des confins est un voyage jubilatoire dans le plus vif de l’existence et dans la matière du monde.
On peut lire le prologue sur le site de l'
Institut international de géopoétique.