accueil
portrait
portrait
portrait
portrait
portrait
portrait
portrait
© 2008 - Une réalisation Symbiose Informatique - Création graphique : Sucré Salé     fr    us

Les Lieux de Kenneth White

Paysage, pensée, poétique
par Olivier Delbard.
Paris, L'Harmattan, 1999.

Présentation par Olivier Delbard

     Kenneth White déploie depuis une trentaine d’années une œuvre originale et radicale qui vise à retrouver un rapport authentique et direct avec le monde, où l’expérience des lieux habités et traversés, le travail de libération du corps et de l’esprit trouvent leur pleine expression dans l’écriture, parole de l’espace retrouvé.
     L’auteur du présent ouvrage nous invite à « lire ces lieux » de vie, de pensée et d’écriture, en adoptant une approche qui fait appel à diverses disciplines et privilégie la notion de paysage, pour mieux saisir l’enjeu fondamental au cœur de cette démarche créatrice, complexe et cohérente.
      Il s’agit finalement d’une invitation  à découvrir un « grand paysage » en cours d’élaboration, qui respire la beauté et la diversité du réel, et  dit avec force la plénitude du monde, pour qui sait voir et écouter.


Olivier Delbard, enseignant et traducteur, est l’auteur d’une thèse de doctorat sur la poétique du paysage dans l’œuvre de Kenneth White et de Gary Snyder. Ses recherches à la croisée de plusieurs disciplines (littérature et civilisation anglo-saxonnes, géographie culturelle, écologie) portent plus particulièrement sur les questions de paysage, d’espace et de dimension poétique du monde.

Extraits
Table des matières

Introduction

PAR-DELÀ LA MODERNITÉ
     Malaise dans la civilisation
     Les nouvelles alliances
     Horizons du monde
     L’homme et le monde
 
EN MARCHE ET EN MARGE
Itinéraires
     Dérives
     Détours
Demeures
     Paysages premiers
     Lieux et demeures

PAYSAGES DE L’ESPRIT
     Errances en Euramérasie
     Pensée du corps, « écologie de l’esprit »
 
PAYSAGE ET ÉCRITURE : LE « POÈME DU MONDE »
     Expérience et écriture : la « parole » du monde
     Poème du monde, monde du poème

CONCLUSION : « Au temps converti en espace ».